Posted 09 juil 2015 — by Marie Category Non classé
Stéphane Ly-Cuong
Stéphane Ly-Cuong, auteur et metteur en scène
Stéphane étudie le cinéma à l’Université de Paris VIII, Brooklyn College (New York) et la Femis.
Il réalise plusieurs courts-métrages : La jeune fille et la tortue (1999), et Paradisco (2002), court-métrage musical réunissant tous les jeunes talents du théâtre musical français, et Tu sais quoi ? (2013). Il réalise aussi le clip Losing Control de Mark Marian (2013) avec la participation de Laura Smet.
En 2005, Stéphane conçoit et met en scène Les nouveaux romantiques, un spectacle musical qui se joue durant près de quatre mois au Théâtre Essaïon à Paris.
En 2006, Stéphane met en scène Singing a Song of Christmas et A White Christmas Celebration, deux spectacles de Noël à Tokyo. Puis, en 2007, il met en scène Vanessa Hidden dans C’est toujours ça de pris !.
En 2008, le festival DIVA lui offre une carte blanche au Théâtre de l’Epée de Bois, à la Cartoucherie de Vincennes où il proposera La vie est une comédie musicale.
En 2009, il co-organise La grande fête du théâtre musical, au Théâtre Comédia, avec un plateau réunissant plus de cent artistes. A l’automne 2009, il présentera son nouveau spectacle musical, Vilaines filles mauvais garçons, autour du répertoire de Serge Gainsbourg, à la Péniche Opéra.
Il met en scène Simply Broadway, au Théâtre de Nesle en 2010 et 2011, avec Leila Florentino et Dennis Astorga, deux artistes issus de la comédie musicale Miss Saigon (Broadway et Londres).
Il écrit et met en scène Cabaret Jaune Citron (Vingtième Théâtre et Auguste Théâtre, 2011, 2012 et 2014, 2015) et met en scène les premières françaises de Edges de Pasek & Paul, et The Last Five Years de Jason Robert Brown (Auguste Théâtre, 2013)
Il écrit, en collaboration avec Christine Khandjian, une adaptation musicale de 24 heures de la vie d’une femme, d’après Stefan Zweig (au Théâtre La Bruyère, Paris, durant tout le mois de juillet 2015).
En 2015, Stéphane est lauréat du concours Hlm sur cour(t) qui lui permet de réaliser le court-métrage Feuilles de printemps avec Frédéric Chau.
Il travaille actuellement à l’écriture de son long-métrage.
Parallèlement, Stéphane mène une carrière de journaliste, spécialisé dans la comédie musicale. Il écrit pour des supports tels que Playbill Online, Tony Awards Online et The Sondheim Review. Il est co-rédacteur en chef du site Regard en Coulisse, le magazine du théâtre musical.
Posted 15 juin 2014 — by Marie Category Non classé
Spectacle musical et pétillant
Avec Vanessa Hidden, chant
Tristan Michel
ou Stéphanie Fontanarosa au piano (en alternance)
Mise en scène de Stéphane Ly-Cuong
Costumes de Jef Castaing
RESUME
Jeune femme moderne, épicurienne et décomplexée, l’héroïne de « C’est toujours ça de pris ! » profite avec innocence des menus plaisirs de la vie. Sa philosophie ? Prendre le bonheur là où il se trouve… quitte à parfois se brûler les ailes ! Avec malice et humour, Vanessa Hidden croque des tranches de vie d’aujourd’hui, avec des chansons d’autrefois qui n’ont pas pris une ride… pour un spectacle musical pétillant, tendre et léger, alliant nostalgie et modernité.
REVUE DE PRESSE
Télérama Sortir – Léger et pétillant ! A nous Paris – Miracle de femme, Vanessa Hidden est une femme de plaisir : le sien, le nôtre. Pariscope – Ce petit spectacle est tout simplement charmant ! Froggy Delight – L’impertinence et l’humour des textes semble galvaniser Vanessa Hidden, qui rivalise de gaieté et d’espièglerie. Toute la culture – Vanessa Hidden, en une heure rondement menée, redonne le sourire aux spectateurs
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On retrouvera notamment dans ce spectacle les chansons suivantes :
La saison d’amour
C’est si bon quand c’est défendu
J’m'embrouille
C’est toujours ça de pris
La samba de la poule
Plus on est d’amis
Je suis pocharde
Quand on vous aime comme ça
Partie carrée
Tango stupéfiant
Les chemins de l’amour
Plaisir d’amour
Chanson moyenâgeuse
Pedro
Je t’aime
Mme Arthur
VIDEO Bande-annonce
Extrait de C’est toujours ça de pris ! au Théâtre de l’Epée de Bois, Cartoucherie de Vincennes, juin 2008.
« Le Tango Stupéfiant »
Extrait de C’est toujours ça de pris ! au Théâtre de l’Epée de Bois, Cartoucherie de Vincennes, juin 2008.
« Quand on vous aime comme ça »
Extrait de C’est toujours ça de pris ! au Théâtre de l’Epée de Bois, Cartoucherie de Vincennes, juin 2008.
« C’est toujours ça de pris ! »
REVUE DE PRESSE
Critique parue dans toutelaculture.com Mutine, élégante, sensuelle, la jeune femme ensorcelle littéralement le public. L’abattage d’une Suzy Delair avec la grâce d’une Danielle Darieux (…) Vanessa donne un vrai coup de jeune aux textes, dans une mise en scène précise et alerte. Les petits textes de liaison entre les chansons sont réellement drôles. Avec trois bouts de ficelle et une boîte à malices, Vanessa Hidden, en une heure rondement menée, redonne le sourire aux spectateurs (…) Dans ces jours d’hiver, tout gris, écouter Vanessa Hidden est un petit profit dont il ne faut pas se priver ! Olivia Leboyer, mars 2011
Critique parue dans Froggy Delight
Les deux artistes se sont appliqués à raconter une histoire et à créer un personnage très actuel, qui démontre que ces chansons sont bien encore dans l’air du temps et restent d’actualité, pour peu qu’on en dépoussière l’interprétation.
Plus qu’un tour de chant, « C’est toujours ça de pris ! » est donc un spectacle musical à part entière, qui aborde des thèmes intemporels comme l’amour, la séduction, l’infidélité et recrée un univers léger et pétillant, où la vie se croque, où tout bonheur est bon à prendre et où finalement, aucun drame n’est vraiment très grave.(…)
Les rengaines (…) petits bijoux au langage imagé, cocasse, teinté d’humour féroce, des années 20-30, retrouvent ainsi le chemin de la scène, sans tomber dans le piège de l’hommage posthume.
L’impertinence et l’humour des textes semble galvaniser Vanessa Hidden, qui rivalise de gaieté et d’espièglerie. L’accompagnement au piano de Tristan Michel, léger et sensuel, rend ce spectacle encore plus vivant et vibrant.
Cécile Beyssac, Novembre 2010
Critique parue dans Nos Tendres Années
Les textes de liaison entre les titres sont soigneusement écrits et donnent à cette page de music-hall un petit air de théâtre bien agréable.
Dans ce théâtre de poche à deux pas de Pigalle, vous apprécierez à coup sûr ce spectacle poétique allégrement mené par une chanteuse mutine et coquine.
Claudine Levanneur, novembre 2010
Critique parue dans Musicals in Europe
Quand on parle de spectacle vivant, ce spectacle mérite bien ce qualificatif. D’ailleurs, si par ce temps de grisaille, vous avez besoin d’un peu d’oxygène, profitez d’un mercredi pour faire le plein d’énergie et de bonne humeur à l’Atelier Théâtre Montmartre… Vous pourrez dire que ce moment passé « c’est toujours ça de pris ! ».
Régis Gayraud, Novembre 2010
Critique parue dans Pariscope
Pour porter la cocasserie, la poésie, l’intelligence et l’audace de ces chansons, il fallait une interprète à la hauteur. Vanessa Hidden l’est ! Au-delà de la technique vocale, elle a l’œil qui frise et une malice qui sied parfaitement à l’esprit du spectacle. (…) C’est frais, pétillant et joyeux. On rit franchement sur « J’suis pocharde », « Pedro » ou « Plus on est d’amis » où les mimiques et la gestuelle de l’artiste font recette. Et l’on tombe inévitablement sous le charme de la redoutable soprano quand elle vient nous cueillir sur une délicieuse « Saison d’amour » ou un somptueux « Je t’aime ». (…) Ce petit spectacle est tout simplement charmant !
Dimitri Denorme, Pariscope, 16 juin 2010
Critique parue dans Télérama Sortir
T – Proposer, en 2009, un spectacle autour de Marie Dubas, d’Yvette Guilbert et d’Yvonne Printemps, il fallait oser ! Ces grandes dames de la chanson du début du siècle n’étant pas, a priori, très tendance. Vanessa Hidden butine d’un univers à l’autre avec humour. Au fil de sa jolie voix mutine, elle nous entraîne dans « Le Tango Stupéfiant », puis sur « Les Chemins de l’amour », où l’onr encontre un certain « Pedro » et la fameuse « Madame Arthur ». Tout sauf ringard. Juste léger et pétillant.
Michèle Bourcet, 14 octobre 2009
Critique parue dans A Nous Paris
L’intention est claire : revisiter avec peps et élégance ces petits bijoux d’intelligence et de cocasserie, les ranimer au gré d’une langue puissamment évocatrice et d’un thème universel : les relations amoureuses. (…) Désirs, fantasmes et frissons circulent sous la peau de ce spectacle enchâssé entre nostalgie et modernité. Les sentiments y sont délicats, troubles, drolatiques, les nuits pétillantes, les femmes jolies et au fond, rien n’est grave. (…) Pour mener à bien ce projet, il fallait plus qu’une bonne interprète lyrique : un miracle de femme qui chaque soir s’incarne dans une jeune épicurienne totalement décomplexée. (…) La délicieuse Vanessa Hidden est une révélation : aussi légère qu’une pluie de pétales, elle glisse d’une chanson à l’autre, zigzague avec grâce et mutinerie entre les intermittences du coeur et les tentations de la sensualité. (…) Un piano raffiné (Tristan Michel) accompagne cette ode à l’amour, au bonheur, à la vie. La mise en scène (sobre et tenue) joue elle aussi plus volontiers sur des nuances subtiles que sur de lourds aplats. (…) [Vanessa Hidden] est une femme de plaisir : le sien, le nôtre. Myriem Hajoui, 7 septembre 2009
Critique parue dans Sensuelle
C’est toujours ça de pris est un petit bijou musical. La chanteuse lyrique est sur scène avec Tristan Michel au piano, et rend hommage à trois femmes d’exception : Yvette Guilbert, Yvonne Printemps et Marie Dubas. (…) Ces femmes ont chanté la liberté, la féminité, l’indépendance, le désir, le plaisir… Et on l’avait oublié !
On rit des paroles cocasses, on tremble pour notre amoureuse, on partage ses pensées… Quelle modernité !
Bénédicte Crabouillet, janvier 2010
Critique parue dans Le journal du 18e
(…) Au fait, connaissez-vous Vanessa Hidden ? Elle chante les histoires des grandes dames d’hier, mise en scène par Stéphane Ly-Cuong, sobrement, justement et tout lui va ! Les textes gardés entraînent aujourd’hui des histoires qui viennent de loin. L’interprète est prenante, amoureuse, goûte à l’amour, au désamour jusqu’au bout de sa large expression.
Elle joue, amuse. Son profil gracile n’est en rien fragile. Les vieilles dames se révèlent dans ce moderne reflet. Elles se réécoutent et l’on regarde Vanessa Hidden chanter, dire, jouer. Le regard attirant, sa voix retient tous les regards.
Claire Dalla Torre, juillet 2008
Critique parue sur lalalala.org Elle recrée magnifiquement les chansons de Guilbert et de Dubas, grâce notamment à son art de faire sonner les mots et les phrases avec une clarté, une précision et un esprit rares. Car bien que notre soprano n’hésite pas à ajouter quelques ornements délicats ou délicatement drôles, ni à donner de la voix quand c’est nécessaire, on ne perd jamais une miette du texte, Vanessa Hidden sachant jouer de très courtes pauses pour isoler ou faire résonner un mot sans néanmoins interrompre le flux.
Didier Dahon, novembre 2007
Critique parue sur Broadway, baby
L’interprète, accompagnée d’un pianiste, donne une seconde jeunesse à des chansons aussi mythiques que « Le tango stupéfiant » (« je me piiiiiique à l’eau de javel ! »), « Pedro » ou « Quand on vous aime comme ça » … Si elle est parfaitement à l’aise sur le répertoire purement fantaisiste, Vanessa Hidden donne la pleine mesure de son talent et de sa voix sur les chansons d’amour comme « C’est la saison d’amour », qui ouvre et clôt le tour de chant.
Critique parue sur Paris-Broadway
Les quelques chansons choisies, liées par des textes amusants, sont interprétées avec un mélange de mutinerie et de grâce éthérée par la très attachante Vanessa Hidden, dont la belle voix lyrique est particulièrement appropriée aux chansons associées à Yvonne Printemps, comme “C’est la Saison des amours”, un extrait de l’opérette Les trois Valses sur lequel s’ouvre le spectacle, ou encore le sublime (le mot est faible) “Les Chemins de l’amour” de Poulenc et Anouilh, qui est sans conteste le sommet de la représentation.
Critique parue sur Opérette Magazine
Tranches de vie d’aujourd’hui, sur des chansons d’autrefois, ce spectacle a attiré un public de tous âges, permettant aux plus jeunes de découvrir des chansons « à écouter ».
Il est évident que ce spectacle a été conçu autour de la personnalité de son interprète Vanessa Hidden, une jeune artiste fraîchement sortie du Conservatoire de Paris qui navigue avec délice entre opérette et récitals de musique classique, jazz et variétés ou comédie musicale et revue.
Bernard Gray
Opérette, n° 144
Un spectacle musical acidulé !
Livret, lyrics et mise en scène de Stéphane Ly-Cuong
Lyrics et musiques de Christine Khandjian
Musiques additionnelles de An Ton-That
Avec Clotilde Chevalier, Tanguy Duran, Trami Nguyen
Chorégraphies de Nelly Célérine
Costumes de Sami Bedioui
Collaboration artistique et technique : Sébastien Fèvre et Christophe Guillaumin
Assistante à la mise en scène : Marine Julien
RESUME
Yvonne Nguyen est une petite banane : jaune dehors et blanche dedans. Alors que tout le monde aimerait qu’elle soit une Vietnamienne parfaite – à commencer par sa mère qui aurait souhaité qu’elle épouse une carrière médicale… ainsi qu’un médecin vietnamien – Yvonne, elle, voudrait faire de sa vie une comédie musicale. Confrontée aux idées reçues des uns et des autres, elle finit par remettre en cause ses rêves. Un voyage dans le pays de ses parents la réconciliera peut-être avec elle-même…
Cabaret Jaune Citron, vous emmènera sur les pas de la pétillante Yvonne Nguyen de Paris à Saigon en passant par Broadway, pour un voyage musical, plein d’humour et d’émotion.
REVUE DE PRESSE
« Un conte initiatique singulier et délectable… Un cabaret intelligent et vivant… Ce récit de résurrection intime a valeur de satire autant que de plaidoyer pour la diversité et le métissage. »
Myriem Hajoui, A nous Paris
« Ce qui fait le charme de ce spectacle, c’est son honnêteté, sa sensibilité et son sens de la mesure, qui évite tout pathos et tout sentiment artificiel. Sur l’air de ne pas y toucher, la pièce dit des choses toujours justes et parfois émouvantes, avec des touches d’humour toujours légères et bien vues. »
Laurent Doubrovine, Paris Broadway
« Les chansons, co-écrites par Stéphane Ly-Cuong, Christine Khandjian et An Ton-That, possèdent tout ce que l’on peut attendre d’une comédie musicale, drôles ou tendres et toujours pleines de sens et d’esprit. Elles vous trottent dans la tête longtemps après le baisser du rideau, signe des mélodies simples qui font mouche. Telle est aussi la mise en scène, simple et efficace, reposant sur quelques accessoires, quelques pas de danse et sur des jeux de lumières astucieux. La force de Stéphane Ly-Cuong est de savoir raconter de belles histoires sans en avoir l’air, par petites touches anecdotiques cinglantes et drôles. Il y a forcément des gènes asiatiques dans ce style qui ne dit pas explicitement les choses mais mène le spectateur au cœur du propos : le thème universel de la recherche de soi par-delà les pressions sociales. »
Thomas Schmidt, Regard en Coulisse
« La comédie musicale créée par Stéphane Ly-Cuong a tout pour elle : un livret de qualité, une alternance de chansons intelligentes et agréables à écouter et surtout des comédiens-chanteurs de talent. Avec une mention spéciale pour Clotilde Chevalier, surprenante de justesse dans le rôle d’une française d’origine vietnamienne qui cherche tant bien que mal à gérer sa double culture. Courez-y ! »
Stéphany Kong, Musical Avenue
« Avec beaucoup d’humour, cette pièce emplie de sensibilité ravit les spectateurs. » Sortir à Paris
« Les artistes sont tous superbes : une pianiste de grand talent, un guitariste émérite à la voix chaleureuse et un rôle principal à la belle voix et à la présence scénique indéniable. » Le blog du théâtreux
[La lecture donne] à apercevoir un spectacle frais, bourré d’humour et même, à l’occasion, émouvant. Les chansons ne sont pas en reste. Le beau titre Portrait Chinois, pour ne citer que lui, reste longtemps en tête après la représentation. A suivre !
Xavier Héraud, Yagg.com
Sur le sujet de la double culture et de l’intégration, à partir d’une histoire intime et personnelle, Cabaret Jaune Citron est redoutablement efficace, tant dans l’émotion que dans le rire, et offre au public un excellent moment de divertissement. L’écriture est charmante, spirituelle et intelligente et drôle.
Thanh Hà, RFI Vietnam
Un spectacle inclassable qui est un vrai bain de fraîcheur !
Bernard Gray, Opérette Théâtre musical magazine, Sept. 2010
A very funny piece about a musical-obsessed Vietnamese girl in Paris !
Patrick Honoré, Musical Stages, Summer 2010
LES CHANSONS
PORTRAIT CHINOIS *
8 RUE JAUNE *
COMEDIE MUSICALE ! #
VIETNAMIENNE *
YOKO ONO *
LA PUDEUR DES SENTIMENTS *
ROUGE SUR JAUNE *
LA DANSE DU CHAPEAU CONIQUE #
NOTRE HISTOIRE *
LA LECON DE VIETNAMIEN * #
INSTRUMENTAL : LE VOYAGE #
ETRANGERE A SAIGON *
JOUTES AMOUREUSES *
ENTRE L’EAU, LA TERRE ET LE CIEL #
JE VIENS D’ICI *
PORTRAIT CHINOIS (REPRISE) *
CABARET JAUNE CITRON *
Posted 09 mai 2010 — by stephane Category Non classé
Avec Leila Florentino et Dennis Astorga
Patrick Laviosa, piano
Stéphane Ly-Cuong, collaboration artistique
Spectacle créé en juin 2010 au Théâtre de Nesle, Paris
Concert de chansons du répertoire de Broadway. Extraits de Miss Saigon, Les Misérables, Billy Elliot, Wicked, Spring Awakening, In The Heights…
Originaires des Philippines, Leila Florentino et Dennis Astorga ont fait leurs classes à New York et à Londres dans la comédie musicale Miss Saigon.
Installés aujourd’hui à Paris, ils interprètent des extraits du répertoire de Broadway : une sélection incluant classiques et nouveautés, raffinement et émotion.
VIDEO
Bande annonce du spectacle :
Dennis et Leila interprètent « For Good », extrait de Wicked.
Un spectacle musical
autour du répertoire de Serge Gainsbourg
Avec
Isabelle Lardin-Huynh
Dan Menasche
Cyril Romoli
Olivier Ruidavet
Julie Wingens
Conception et mise en scène : Stéphane Ly-Cuong
Arrangements et direction musicale : Cyril Romoli
Chorégraphies : Nelly Célérine
Costumes : Sami Bedioui
RESUME
Tout au long de sa carrière, Serge Gainsbourg n’a cessé de décliner une infinité de variations autour d’un même thème : l’amour. De la tentation à la séduction, de l’infidélité à la rupture, de la mélancolie au renouveau, Gainsbourg a brossé un tableau drôle et cruel, ironique et émouvant, des états amoureux.
Vilaines filles, mauvais garçons propose un voyage sur la Carte du Tendre du plus célèbre fumeur de Gitanes. En une vingtaine de titres, Vilaines filles, mauvais garçons revisite un répertoire à la fois sophistiqué et populaire dont certaines chansons sont profondément ancrées dans la mémoire collective. Le spectacle se concentre principalement sur la première période de Serge Gainsbourg, celle des années pop et jazz où l’innocence côtoie l’impertinence et où l’amour cohabite toujours avec l’humour.
Vilaines filles, mauvais garçons, ce sont cinq interprètes qui font souffler un délicieux vent de fraîcheur sur les titres de Gainsbourg. Un « Comic Strip » à la Bob Fosse, des « Diamants » très « Diamonds Are A Girl’s Best Friend », une « Gadoue» version « Chantons sous la pluie » : dans ce spectacle, Gainsbourg est vu à travers le prisme de la comédie musicale et ses chansons rencontrent l’univers de la Nouvelle Vague et du glamour hollywoodien.
Les vilaines filles et mauvais garçons vous feront redécouvrir Mr Gainsbourg, tout en lui rendant un hommage vibrant de vie.
QUELQUES CHANSONS DU SPECTACLE
Di Doo Dah (Jane Birkin)
Si t’attends qu’les diamants t’sautent au cou (Régine)
La gadoue (Pétula Clark)
L’eau à la bouche (Serge Gainsbourg)
Comic Strip (Serge Gainsbourg)
Je me donne à qui me plaît ( Brigitte Bardot)
Laisse tomber les filles (France Gall)
Dépression au-dessus du jardin (Catherine Deneuve)
Comme un boomerang (Dani & Etienne Daho)
La javanaise (Serge Gainsbourg)
Comment te dire adieu (Françoise Hardy)
Au total, une vingtaine de titres écrits par Serge Gainsbourg : des classiques immortels ainsi que des petits bijoux à (re)découvrir, revisités avec humour et tendresse…